Avec 2751 euros de dette par Robinsonnais, Le Plessis-Robinson est onzième au palmarès des villes de plus de 20 000 habitants au plus fort endettement par tête.
Dans un article du Journal du Net, de toutes les municipalités présentes à ce sombre classement, le Plessis-Robinson est celle qui affiche la plus grosse augmentation de l'encours* total de la dette depuis 2000. La hausse atteint ... 514,3 %, à 79 millions d'euros. La commune des Hauts-de-Seine, administrée par le maire Les Républicains Philippe Pemezec voit l'annuité de sa dette grimper de 15,1% sur un an de 193,4% sur quatorze ans.
Comme le montre le tableau ci-dessous la dette de la commune n'est pas sans effet sur les impôts locaux.
* L'encours de la dette représente la somme que Le Plessis-Robinson doit rembourser aux banques.
Le figaro dont on ne peut pas dire qu'il s'agisse d'un journal de gauche, cite les villes comme Le Plessis-Robinson qui ont "baissé les bras dans leur combat contre la dette" !!!
RépondreSupprimerD'après le maire c'est à cause de la baisse des dotations de l'Etat !!!
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