Au programme des ateliers et débats :
- l'environnement et le climat,
- l'intercommunalité,
- les services à la famille et à la personne,
- les maires et le défi de la refondation des rythmes scolaires,
- les élus locaux et l'Europe,
- la baisse des dotations de l'Etat,
- le numérique pour tous,
- la simplification et la relance de la construction; atelier auquel participera Philippe Pemezec Maire du Plessis-Robinson.
Parmi les personnalités présentes :
Jacques Pelissard, Président de l'Association des Maires de France,
François Baroin, ancien ministre du de l'Economie, des Finances et de l'Industrie,
George Pau-Langevin, ministre des Outre-mer;
Nicolas Hulot, envoyé spécial du Président de la République pour la protection de la planète;
Anne Hidalgo, maire de Paris ; Gérard Larcher, président du Sénat;
Marylise Lebranchu, ministre de la Décentralisation et de la Fonction publique;
Laurence Rossignol, secrétaire d’Etat chargée de la Famille, des Personnes âgées et de l’Autonomie;
Najat Vallaud Belkacem, ministre de l’Éducation nationale;
Harlem Désir, secrétaire d’Etat aux Affaires européennes;
Pierre Moscovici, commissaire européen aux Affaires économiques;
Ségolène Neuville, secrétaire d'Etat chargée des Personnes handicapées et de la lutte contre l'exclusion;
Patrick Kanner, ministre de la Ville, de la jeunesse et des sports;
Sylvia Pinel, ministre du Logement et de l’égalité des territoires;
et Manuel Valls Premier ministre pour le discours de clôture du congrès.
Mise à jour le 30 novembre
La résolution finale adoptée à l'unanimité pose trois revendications :
- Corriger la baisse drastique des dotations de l’État ;
- Conforter la commune comme échelon de proximité » ;
- Demander à l’État « d’entendre la voix des élus locaux».
L'Association des Maires de France réclame par ailleurs :
- l’ouverture d’une négociation entre l’AMF et le Premier ministre dans les meilleurs délais,
- la traduction dans les faits du « choc de simplification», arguant du fait que l’Etat ne peut pas contraindre les collectivités à dépenser beaucoup moins tout en augmentant la dépense publique par des transferts de charges non compensés ou des normes coûteuses ;
- la réunion urgente d’une instance permanente de dialogue et de négociation ;
- la prise en compte de la spécificité des territoires ultramarins et notamment de l’inapplicabilité de certaines décisions nationales prises sans considération des réalités des territoires (rythmes scolaires, baisse des dotations de l’Etat, bases fiscales, etc.) ;
- que la légitimité de la commune mais aussi l’engagement et la responsabilité des maires et présidents d’intercommunalités soient pleinement reconnus.
L'intégralité de la résolution est à lire ici.
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