Je lui ai expliqué que nous Robinsonnais, attestions de la réalité des propos de Philippe Pemezec rapportés par la journaliste Claire Chéccagligni (1). Je lui ai parlé de ces familles en attente de relogement depuis 5, 6 voire 9 ans. Je lui ai dit qu'il était très difficile de passer en commission d'attribution et que lorsque c'était le cas nous nous voyions systématiquement proposer un logement dans les quartiers les moins enviables du Plessis-Robinson.
Je lui ai également rappelé qu'en tant qu'Alto-séquanais nous participions par nos impôts au financement du logement social au Plessis-Robinson et qu'à ce titre il était inacceptable que nos demandes ne soient pas traitées avec l'impartialité requise.
Patrick Devedjian m'a fait part de sa compréhension et de son refus de toute discrimination. Bien qu'il ne puisse pas s'immiscer dans la gestion du Plessis-Robinson il m'a assuré de son soutien.
Cela nous renforce dans notre action et nous amène à rappeler Philippe Pemezec à ses devoirs de représentant de l'Etat.
(1) Ici, ici et encore là
La discrimination que vous évoquez n'est pas nouvelle.
RépondreSupprimerUn article du Point du 26 janvier 2007 en faisait déjà mention :
Balkany et la purification sociale
« Purification sociale », pour reprendre le mot du député et maire RPR d'Antony, Patrick Devedjian, qui, dès les premiers mois, met Balkany en garde : « A force de purifier cette ville, elle sera trop bien pour toi ! »
La ville, en coupe réglée, se couvre de ZAC et d'une nuée de SCI (sociétés civiles immobilières) stimulées par la Société d'économie mixte municipale (Semarelp). C'est que le nouveau maire veut tout gérer lui-même et n'a pas peur de s'engager dans des opérations immobilières de grande ampleur.
Selon les opposants, en douze ans, Levallois va perdre et regagner 5 000 habitants. Les indésirables, en majorité des immigrés, sont envoyés vers Châtenay-Malabry, Bagneux, Nanterre, Antony. Objectif : faire de Levallois, au mieux, un faubourg de Neuilly, au pire, le XXIe arrondissement de Paris.
Balkany est, une nouvelle fois, aidé dans ses ambitions par Pasqua. Le nouveau maire vient à peine de s'installer dans ses meubles que déjà il hérite de l'Office départemental des HLM des Hauts-de-Seine.
http://www.lepoint.fr/actualites-politique/2007-01-26/la-folie-des-grandeurs/917/0/101081
Bonne suite !
Patrick Deveidjan ne nie pas l'existence des discriminations; tout est dit, rien à ajouter !
RépondreSupprimerC'est clair net et précis !
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